Populaires
Renaud au volant de sa Renault
Le Marsellois Renaud Moy revient avec grand plaisir pour cette seconde édition des 24 heures de La Pelle au volant de son Estafeffe de 1978. L’année passée il nous déclarait, «Je voulais participer à un événement dans mon village. Ça correspond à ce que j’aime ». Lors de l’édition 2023, Renaud avait connu quelques soucis de câble d’embrayage à la fin de l’épreuve. Ce qui ne l’avait pas malgré tout empêché de franchir l’arche d’arrivée avec son large sourire qui le caractérise. Le Marsellois est devenu depuis un des membres de l’association, « Les 24 heures de La Pelle ». Renaud Moy s’élancera à l’assaut de La Pelle pour cette seconde édition dans la catégorie dite des « Populaires ».
Retour aux affaires pour Christian Bessard-Duparc
Déjà 10 ans que le Marsellois a raccroché la combinaison, les gants et le casque. En 2023, le passionné de Rallye qui a notamment participé à l’Automne à La Rochelle sur une Peugeot 104 ZS groupe 2, au Corsica Rallye à trois reprises sur une BMW 2002 TI groupe 2, sans oublier le Tanger/ Merzouga/Zagora en buggy, n’était pas encore fin près pour enquiller les boucles des 24 heures de La Pelle. 2024 sera son année en compagnie du Saint-Xandrais Patrick Olivier. Les deux compères seront au volant dans la catégorie « Populaires », du légendaire buggy Lm1, produit par la société Française Sovra, sur une base Coccinelle Volkswagen. Quelques années en arrière, Christian Bessard-Duparc a pris 180 km/h avec cet engin de 132 CV, préparé piste proto, sur la ligne droite du circuit de Nogaro (Gers). Mais les 24 et 25 août prochains l’équipage sera à La Pelle, «juste pour animer le village et se faire plaisir ».
Mini mais costaud !
Gaël Grenaille revient au volant de sa Mini Mayfair 1 000 cc de 1988. En effet l’Esnandais avait été un des premiers à s’inscrire à l’édition 2023 des 24 heures, « j’avais beaucoup aimé cet état d’esprit revival ». Gaël sera associé les 24 et 25 août à son pote Alexandre. Tous les deux arboreront un look rétro, polo et pantalon écossais. Gaël imagine déjà cette seconde édition avec la formule des véhicules réunis sur 4 plateaux différents, « ça se rapproche des 24 heures du Mans classic. C’est chouette ». Et quitte à se projeter déjà en 2025 avec une partie de roulage de nuit, « alors là ce serait le top ». Affaire à suivre. Le passionné s’engage sur le plateau des petites populaires.
La Mini, une histoire de famille
Après Gaël Grenaille, c’est au tour de son père, Jacques de s’inscrire pour les 24 heures. Tout comme son fils, l’Esnandais avait participé à la première édition des 24 heures. Lui aussi sera au volant d’une Mini avec son autre fils, Samuel, « c’est une version Sprite 1 300 cc de 1992. Jacques voue une véritable passion pour la Mini, « j’aime tout particulièrement ce style de petite voiture populaire sportive ». Tout comme en 2023, Jacques Grenaille compte bien faire le show, « je suis là pour donner du plaisir aux gens. Je suis content lorsque j’entends sur le bord de la route les enfants crier : voilà les Mini ». Tout comme Gaël, Jacques roulera sur le plateau des petites populaires.
Ils vont filer comme une étoile
Isabelle Detable-Raimbault et Georges Raimbault feront le déplacement de Saint-Cyr-sur-Loire (Indre-et-Loire) pour participer à cette seconde édition des 24 heures au volant de leur Mercedes 190 de 1990. « La voiture appartient à Isabelle depuis très longtemps. C’est un véritable coup de cœur. Elle s’y est attachée et ne veut plus s’en séparer », confie Georges. Ce dernier est également passionné d’automobiles, « j’en ai eu beaucoup. Des motos également ». Ce couple de passionnés qui rouleront dans la catégorie des « Populaires », rejoindra la Pelle au volant de leur Mercedes. Quant à leur tenue, « nous y réfléchissons ».
Les anglaises ne manqueront pas à La Pelle
C’est une nouvelle anglaise, propriété des Angevins Véronique et Yves qui vient conforter le plateau des populaires de la Pelle. Qui plus est, le couple de passionné viendra par la route jusqu’à Marsilly au volant de sa Triumph TR4 de 1968. Le temps de changer de look et ce sera parti pour ce sympathique équipage. « Bien sûr que nous allons venir en roulant. Et nous allons trouver des tenues raccords avec l’évènement. Sur Angers nous allons trouver ça ». Après Vincennes il y a deux ans, ce sera la seconde participation pour Véronique et Yves qui ont des attaches à Marsilly, à une manifestation populaire de véhicules anciens. Au passage, Yves Tricard en profite pour confirmer ce qui n’est plus une légende dans le monde des anciennes, « une anglaise qui ne pisse pas de l’huile par terre ce n’est pas tout à fait normal ».
De retour à la Pelle
Tommy Perez avait fait partie de ceux qui s’étaient lancés dans la première édition des 24 heures. En 2023 elle se disputait sous forme d’équipe. Cette année place aux plateaux de véhicules de même catégories. C’est dans celle des « populaires », que Tommy a décidé d’inscrire sa Volkswagen Coccinelle de 1967, moteur 1 300 cc. Tommy abordera cette seconde édition avec le même état d’esprit que la première, « Pour le fun je vais coursifier un peu ma Cox dans l’esprit des Porsche 356 Speedster, en enlevant les enjoliveurs par exemple. J’ai prévu également de monter une galerie ». Et de conclure, « je reviens pour l’ambiance, le côté vintage. Ça promet encore d’être bien. L’équipe organisatrice est toujours aussi sympathique ».
Miss Hopi se cherchera de nouveaux amis à la Pelle
Arrivés depuis seulement le mois de novembre 2023 à Yves (Charente-Maritime) Alain charpentier et sa compagne Pascale Weber cherchent à se recréer un nouveau réseau local dans le monde la voiture ancienne. « J’avais eu écho de la première édition des 24 heures de la Pelle. J’ai cherché sur Internet. Et j’ai trouvé les 24 heures d’août 2024 », explique le propriétaire de Miss Hopi. Miss Hopi, c’est sa Citroën Méhari qui vient de s’engager dans la Ronde des 24 heures des 24 et 25 août prochains, « Elle est de 1972 et a servi dans un régiment Alsacien. À sa sortie elle était dans un triste état. Sa rénovation a duré deux ans, entre 2018 et 2020. Elle a alors été repeinte, en couleur rouge Hopi créée par la marque entre de 1968 à 1975. C’est une couleur devenue très rare ». Restaurer dans les règles de l’art, Miss Hopi a bourlingué d’Alsace en Moselle pour finir par atterrir ici en Charente-Maritime. Tout comme d’ailleurs, Pascale et Alain ses propriétaires. Tous les deux se relaieront au volant de Miss Hopi lors de cette seconde édition des 24 heures, « nous venons pour l’ambiance et partager de bons moments avec tous les autres passionnés qui seront présents ce week-end-là ».
Thierry Renard de retour aux affaires à la Pelle
Thierry était un des participants de notre première édition des 24 heures en 2023. Il revient cette année avec sa Citroën 2 CV de 1973, « j’avais adoré la première édition ». En 2023 Thierry Renard faisait équipe avec Benoist Courchai. Depuis ce dernier a intégré l’association des 24 heures. Il s’occupe avec Isabelle, de l’organisation du village des exposants, à ce jour plus d’une quinzaine, des 24 heures des 24 et 25 août prochains. Durant ce week-end, Thierry partagera le volant de sa Citroën avec son ami Jean-Jacques Sezat. Quant à sa motivation, il éclate de rire, « je viens chercher le premier prix. Nous ne l’avons pas eu l’année dernière. Non je plaisante. Je viens juste pour l’ambiance de cette manifestation ».
Peut-être la doyenne de la Pelle
Tous les véhicules, quel que soit leur nombre de roues seront les bienvenus les 24 et 25 août prochains pour la seconde édition des 24 heures de la Pelle, pourvu qu’ils soient âgés de plus de trente ans. Dernière inscrite et pour le moment et doyenne de la Rondes 24 heures, une Buick type 26-51, propriété du Réthais Marc Da Silva, de 1926 avec un moteur de 4,5 litres de cylindrée. Toute ressemblance avec la Buick achetée en 1927 par le célèbre gangster Al Capone n’est pas forcément à exclure. En effet, celle de Marc Da Silva pourrait bien arriver à la Pelle avec la cuvée spéciale des 24 heures, produite tout spécialement par le vigneron Pierre Cartier à Arles (Bouche du Rhône) et vendue au même prix par les restaurateurs du village les 24 et 25 août prochains.
Un aficionado à la Pelle
Ludovic Berthon était venu en spectateur lors de la première édition des 24 heures, « j’avais trouvé l’ambiance géniale. Je me souviens notamment de cette arche de départ qui n’était pas sans rappeler le pont Dunlop du circuit du Mans. Je me suis dit l’année prochaine j’en serai ». C’est chose faite. Le mécanicien spécialisé dans la voiture ancienne et récemment installé à Courçon se partagera le volant de sa Simca P60 modèle Montlhéry de 1961 avec une amie de l’île de Ré, Noëlle Rayneau. L’occasion pour le passionné de cette voiture, sortie d’une grange des Deux-Sèvres de tailler le bout de gras les 24 et 25 août prochains avec notre Paulo la science de la marque Simca : Danik Chevreau. À noter que Ludovic Berthon a également participé à notre rallye à énigmes Simenon le 12 mai dernier, avec cette même P60.
Pour s’envoler à la Pelle
Comme un certain nombre des engagés dans la ronde 2024 des 24 heures de la Pelle, Sonia et François Bordier étaient venus en simples spectateurs en 2023. « Nous avons tout adoré, l’ambiance, le site magnifique et surtout l’organisation, simple familiale et conviviale », confie le couple de Charronnais. Sonia et François ont donc décidé de relever le défi de la Pelle cette année au volant d’une Renault 4L GTL découvrable. « Attention ce n’est pas le modèle Jogging », précise François. Celle-ci a d’ailleurs retrouvé sa capote d’origine au cours de sa restauration. Le couple est en train d’affiner sa tenue raccord avec sa 4L, avant de se lancer par la suite à la recherche d’une 4LF4 et du Graal pour François : une Citroën Diane 6 fourgonnette.
Le Grand Pavois à la Pelle
Nouvelle inscrite pour la ronde des 24 et 25 août prochains dans la catégorie des voitures populaires : une Renault Frégate de 1956, modèle Grand Pavois. « C’était la version luxe. Grand Pavois ça me rappelle le salon qui se tient à La Rochelle et la Charente-Maritime », explique son propriétaire, le Tonnacquois Denis Caillaud. Ce dernier n’était pas venu assister aux 24 heures l’année passée. Pour autant, « j’étais présent en 2020 avec mon ami Claude Joussemet lorsqu’il y avait eu un rassemblement de véhicules anciens au port de La Pelle à la sortie du déconfinement ». Et comme chez les Caillaud, la passion automobile se partage en famille, « il se pourrait bien que je vienne les 24 et 25 août avec deux autres voitures, conduites par mon épouse et mon fils ».
De l’île de Ré à la Pelle
Quelques semaines en arrière, Francis Vergnaud, le sympathique président de la toute nouvelle association des 2CV et Méhari de l’île de Ré venait nous rendre visite lors d’une de nos fameuses réunions de chantier au Marsellois. Après la découverte du site le Rhétais regagnait son île particulièrement enchanté, avec la ferme intention d’être de la partie les 24 et 25 août prochains. C’est officiel depuis le dimanche 4 août, Francis Vergnaud sera bien au départ de cette seconde édition des 24 heures au volant d’une Citroën 2CV6 de 1986.